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Photo REB

La force d’un réseau de chefs d’entreprise engagés

‘Pour créer des emplois, créons des employeurs’ telle était la maxime d’André Mulliez, fondateur du Réseau Entreprendre en 1986. La vocation de Réseau Entreprendre : faire réussir de nouveaux créateurs ou repreneurs d’entreprises à fort potentiel en leur offrant un accompagnement humain et financier. Son moteur : 6000 chefs d’entreprise en France engagés pour accompagner bénévolement des lauréats et contribuer ainsi au développement économique de nos territoires. ‘Je suis un amoureux de l’Yonne et j’aime contribuer à dynamiser notre département. L’énergie des membres du réseau et des porteurs de projets est contagieuse’ nous explique Alain Petit, bénévole actif et jeune retraité de l’EDF.

Créé en 2002 en Bourgogne, REB a déjà accompagné 204 lauréats dont 32 % en reprise d’entreprise et 68 % en création soit la création ou le maintien de plus de 2000 emplois. Dans l’Yonne, l’antenne représentée par Catherine Guignard-Millet, est plus récente puisqu’elle est en place depuis deux ans tout juste. Depuis 2015, 50 porteurs de projet se sont présentés et seulement 7 ont requis tous les critères pour rejoindre le réseau. A noter que deux femmes font partie des sept lauréats, la gente féminine représente seulement 23 % des créateurs. Les domaines d’activité sont très éclectiques et innovants : site comparateur d’assurances, pôle multi accueil petite enfance, développement informatique, industrie plastique, enceintes acoustiques, aérogommage (soit 58 emplois), des entreprises amenées à accroître rapidement leurs effectifs. REB, c’est aussi un taux de pérennisation de 85 % à 10 ans.

Un déjeuner pour renforcer la cohésion du groupe

Le mardi 28 mars, c’est dans les locaux du groupe Shiever que Vincent Picq, Président de l’antenne REB de l’Yonne a réuni anciens et nouveaux adhérents du réseau, membres du conseil d’administration et lauréats afin de partager un déjeuner autour des valeurs de Réseau Entreprendre : l’humain, l’énergie, le réseau, l’entraide, le talent et l’envie. ‘Les dirigeants sont particulièrement attachés à leur territoire et répondent toujours présents quand il s’agit de recevoir un porteur de projet pour lui apporter un retour bienveillant mais sans complaisance dans la phase amont du comité d’engagement. Le comité s’engage à l’unanimité aux côtés d’une personne lauréate pour un durée minimum de 5 ans’ nous explique Catherine. En Bourgogne, ce sont 163 entreprises qui adhèrent au réseau dont 45 pour le seul département de l’Yonne.

Pourquoi devenir adhérent de REB

‘La création d’entreprise est une aventure pour les porteurs de projets comme cela l’a été pour moi. Autodidacte, j’ai tellement ramé mais aimé cette période, que transmettre est devenu mon leitmotiv. Echanger, anticiper, partager, participer à la création d’emplois, développer de la richesse, sont ma contribution à l’évolution économique de l’Yonne. Les projets me nourrissent, on donne mais on reçoit beaucoup’ confie Alain Bounon, ancien chef d’entreprise. Réseau Entreprendre est une association reconnue d’intérêt public. Les adhésions permettent d’allouer des prêts d’honneur aux lauréats accompagnés par l’association.

Article paru le 17 avril 2017 dans le Journal du Palais de Bourgogne Franche-Comté.

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Sandra, une jeune diplômée icaunaise expatriée aux Pays-Bas

A presque 28 ans, Sandra Rombi est déjà une expatriée expérimentée aux pays des tulipes. Tout juste diplômée d’un Master en Management d’un Centre de Profit obtenu à l’IFAG Auxerre (Institut de Formation aux Affaires et à la Gestion) en 2012, elle décide que son avenir est ailleurs. ‘Je voulais partir en Chine pour Hermès Métal, l’entreprise où j’ai effectué ma formation en alternance. Les dirigeants m’ont jugée trop jeune et m’ont refusé cette expatriation. Alors j’ai recherché des offres d’emploi à l’international et la Hollande m’a ouvert les bras. Je suis partie pour une première entreprise et n’ai pas rencontré de difficultés, voilà trois ans, à changer pour un cabinet de recrutement spécialisé dans le nucléaire, Thomas Thor basé à Amsterdam’ explique la française. ‘Les entreprises néerlandaises aiment recruter des français de langue maternelle pour développer leur business en France, à tel point que je suis régulièrement démarchée pour de nouveaux postes. Mon salaire a doublé en trois ans, et en rajoutant les commissions sur les affaires que je décroche, je m’en sors beaucoup mieux que si j’étais restée dans mon pays’ poursuit la jeune femme.

Un management moderne et efficace

Thomas Thor a été créé en 2010 par trois associés et le cabinet compte trente-huit personnes à ce jour dont 23 nationalités. La richesse du mélange des cultures et la moyenne d’âge de 32 ans sont des atouts pour attirer les jeunes du monde entier. La manière de manager est transversale, c’est-à-dire que tous les salariés quel que soit leur ancienneté et leur poste sont considérés à égalité. ‘J’aime la transparence des équipes, par exemple lorsqu’un recrutement est terminé, chaque Manager Comptes clés explique par email à toute l’entreprise le poste, le profil recruté, les difficultés rencontrées pour que l’expérience de l’un serve aux autres’ raconte Sandra. Un management efficace et motivant : l’entreprise prend à sa charge un abonnement à une salle de sport et offre une heure par semaine aux équipes pour se défouler. Chaque mois, un évènement social (Social Event) est organisé par les salariés, l’entreprise alloue un budget de 30 €uros par personne et les employés s’adonnent à un cours de salsa, à la fabrication de bonbons au chocolat, résolvent une énigme, partent en croisière… une jolie initiative pour fédérer le personnel. Les salariés attribuent également des notes au meilleur employé du mois ce qui autorisera ce dernier à établir des demandes à la direction et à faire progresser le cabinet.

Paru le 29 août dans le Journal du Palais du Bourgogne

Création d'une toile par Karls - Evénement entreprise du 12 mai 2016

Art et entreprise

Ce pourrait être un sujet de bac philo, mais ce pourrait être aussi une réalité moderne, d’aujourd’hui. La RSE ou Responsabilité sociale des entreprises est un concept qui, en clair, intègre les préoccupations sociales, environnementales et économiques de l’entreprise. La RSE s’applique à tout type de compagnie : des multinationales cotées, aux petites et moyennes entreprises. La bonne pratique RSE est une action dans laquelle l’entreprise s’engage dans la durée, au-delà de ses obligations légales, à produire un bénéfice environnemental et social. Cette bonne pratique contribue aussi à sa performance économique. Et l’art fait partie intégrante du bien-être au travail, il apaise et adoucit les relations professionnelles.

C’est cet aspect que nous propose de découvrir Guillaume Luzé. Des études de commerce brillantes, une longue expérience dans l’immobilier et une passion pour l’art contemporain ont amené Guillaume, bourguignon natif de l’Yonne à s’impliquer professionnellement dans ce secteur et à créer, en 2014, Art & Value, une plateforme de sourcing d’œuvres d’art.

Une image moderne et positive de l’entreprise

Le principe, Guillaume conseille et accompagne ses clients dans l’acquisition d’œuvres d’art. ‘Selon un mode opératoire simple emprunté à la gestion de patrimoine, nous analysons la sensibilité artistique du client, son objectif (besoin d’image ou financier et patrimonial) et son budget. Puis nous lui proposons des profils d’artistes français et étrangers correspondant à ses goûts et à ses objectifs, et enfin recherchons les œuvres adaptées à sa commande’ nous explique le spécialiste en art moderne.

Aujourd’hui, et beaucoup plus qu’avant, l’entreprise a besoin de donner une image positive d’elle-même envers ses clients et salariés : la décoration de ses locaux, le développement de son identité auprès de ses clients et l’attachement des collaborateurs à leur environnement de travail. Elle a également des objectifs financiers et patrimoniaux : acquisition d’actifs complémentaires à ceux de l’activité principale, la défiscalisation permise par la loi 238 bis AG du CGI (mécénat et acquisition d’œuvres d’artistes vivants), et même l’acquisition par paiement comptant et / ou l’acquisition par la LOA (location avec option d’achat).

‘Notre panel d’intervention, poursuit Guillaume, est assez large : nous pouvons fournir un ‘package artistique ou un projet d’évènement global, une proposition complète (lieu, contenu, sourcing et organisation de l’intervention des prestataires) intégrant un contenu artistique. Notre objectif est d’utiliser l’art comme élément de différenciation dans les évènements des entreprises afin de les rendre originaux et très réussis.’

Des prestations inventées sur mesure

Art & Value a développé trois types de prestations artistiques : l’intervention d’un collectionneur avec un contenu à définir avec le client, l’exposition d’œuvres d’un ou plusieurs artistes selon une thématique à convenir, et la réalisation d’une performance en live comme la création d’une toile monumentale (de 2 à 10 mètres de largeur) selon une durée variable de 20 à 90 minutes. Des prestations très originales pour des évènements inoubliables à présenter à vos salariés lors de séminaires, une ouverture aussi sur la peinture contemporaine et le monde artistique en général. L’art se démocratise et devient par le biais de l’entreprise, accessible au plus grand nombre.

Art & Value travaille également avec des particuliers dans le cadre d’un achat passion, d’une diversification patrimoniale, d’une défiscalisation, d’un investissement ou d’une transmission.

Paru le 18 juillet dans le Journal du Palais.

Table ronde Les entreprises de demain

Voyage vers le futur, mon entreprise en 2030

241 participants à l’évènement business organisé par la CCI de l’Yonne

Organisé tous les deux ans en alternance avec les RIDY (Rencontres Industrielles de l’Yonne) par Christine Jan, Chef de Projet RIDY et Evènement Business, et Animatrice de la Communauté des Positives Entreprises à la CCI de l’Yonne, cet après-midi business permet aux entrepreneurs de l’Yonne de réfléchir et d’échanger sur leurs problématiques et d’anticiper sur le business model de demain dans un cadre différent à chaque édition, original et convivial.

Voilà le thème qu’a abordé Joël de Rosnay lors de sa conférence au théâtre de Sens. Personnage public, Docteur ès sciences, prospectiviste et écrivain, il participe régulièrement à des débats sur l’informatique et Internet, la biologie, la santé et le vieillissement, l’environnement et l’énergie, les nanotechnologies… A 79 ans, il nous fait part de ses observations et de son ressenti à l’égard des entreprises évoluant dans un environnement en pleine mutation. Joël de Rosnay prône une entreprise fluide (transversale) plutôt qu’une entreprise rigide (pyramidale), des free-lancers (entendez des intermittents qui passeront d’un job à l’autre), un monde où le salariat sera obsolète. Nous serons des humains ‘augmentés’ grâce à l’intelligence artificielle de nos smartphones qui nous permettent de communiquer, de rechercher une information en temps réel. Nous entrons dans l’ère de la symbiose entre le biologique et le numérique : maison intelligente, voiture intelligente, l’éducation nationale de type pyramidale deviendra une éducation sur mesure intergénérationnelle (notre espérance de vie augmente d’un an tous les quatre ans et il va falloir occuper les anciens). Les entreprises seront proactives, participatives, les comptes rendus de réunion se rédigeront automatiquement grâce à la reconnaissance de nos voix… nos hologrammes nous remplaceront pour animer des conférences et ainsi nous pourrons être présents en plusieurs endroits à la fois. Les livraisons seront réalisées grâce à des drones… «J’ai adoré cette intervention, mais certaines entreprises remettront-elles en cause leur schéma ?» s’interroge Stéphanie. Comment les conservateurs vont-ils aborder ces changements. Auront-ils le choix ?

Cette conférence était suivie de la présentation de cinq jeunes entreprises innovantes et des clubs business sénonais.

Speed business dans les salons de l’hôtel de ville de Sens

Le principe est copié sur celui du speed dating, chaque dirigeant d’entreprise est invité autour d’une table de 8 personnes et a une minute pour s’exprimer sur l’activité de son entreprise. Chacun explique tour à tour son savoir-faire puis change de table pour recommencer sous l’œil avisé d’autres chefs d’entreprise. Un exercice de synthèse qui permet de distribuer et de récolter de nombreuses cartes de visite. Des rencontres qui peuvent déboucher directement sur des opportunités d’affaires en quelques instants.

La soirée s’est clôturée par la visite de la cathédrale de Sens et son fameux spectacle ‘Lumières de Sens’

Ces rencontres remportent un véritable succès. Contrairement aux idées reçues, les participants changent, de nouveaux contacts se lient, de nouvelles entreprises s’installent au vert dans l’Yonne, près de Paris et pour certaines c’est un véritable choix en matière de qualité de vie, Sens n’étant qu’à une heure de voiture ou de train. Prochain rendez-vous : le 12 juillet pour un brunch au sein d’une entreprise locale.

Article paru le 27 juin dans le Journal du Palais.

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Quand sa passion devient son métier

Icaunais d’origine et passionné d’art contemporain, Guillaume Luzé a décidé en 2008 de vivre de ce qui l’anime : ‘J’ai d’abord eu envie d’acheter des œuvres puis d’élaborer une collection personnelle, puis je me suis finalement impliqué professionnellement en co-fondant une galerie en ligne et en créant ma propre entreprise en 2014 focalisée sur l’usage de l’art’. Guillaume conseille et accompagne les particuliers et les entreprises dans l’acquisition d’œuvres d’art contemporaines et modernes dans un but patrimonial ou comme une découverte événementielle au sein des entreprises.

‘Nous sourçons les œuvres en fonction des objectifs de nos clients’

‘Nous préconisons les œuvres selon un protocole bien défini : nous interrogeons nos clients sur leur sensibilité artistique, leurs objectifs (achat passion, diversification patrimoniale, défiscalisation, investissement, transmission), leur budget, puis leur suggérons des profils d’artistes et des œuvres adaptés à ces demandes, toutes particulières, sans conflit d’intérêt avec le marché.

Les entreprises de plus en plus amatrices d’art

Pour décorer leurs locaux et procurer à leur salariés un environnement de travail agréable, développer leur identité auprès de leurs clients, ou encore pour des raisons financières ou patrimoniales, les sociétés peuvent acquérir grâce à la loi 238 bis du CGI (mécénat et acquisition d’œuvres d’artistes vivants) des œuvres d’art leur permettant une défiscalisation.

Créer un événement original

‘Nous pouvons fournir un « package artistique » dans un projet événementiel existant, jusqu’à fournir à l’entreprise une proposition complète (lieu, contenu, sourcing et organisation de l’intervention des prestataires) intégrant une prestation artistique. Notre objectif ici, est d’utiliser l’art comme élément de différenciation dans les événements des entreprises, afin de les rendre très réussis voire inoubliables. Nous pouvons soumettre l’intervention d’un collectionneur (définir le sujet avec l’établissement organisateur), l’exposition d’œuvres d’un ou plusieurs artistes (convenir de la thématique), la réalisation d’une performance en live : création en intégralité d’une toile monumentale (de 2 à 10 mètres de largeur) selon une durée variable de 20 à 90 minutes’.

Contact : Art&Value – 06 14 49 82 32 – guillaume.luze@artetvalue.eu

Portrait Alan

Et si le rêve américain c’était l’Arizona ?

L’Arizona, l’ouest américain à la frontière de la Californie et du Mexique, à la croisée des autoroutes et des transports ferroviaires entre le Canada et l’Amérique centrale, le Grand Canyon… voilà ce que les français connaissent de cet état. Pourtant il offre de nombreux avantages aux entreprises qui s’y installent par rapport aux mégalopoles de New York, Miami ou de la Silicon Valley. Comme les entreprises françaises qui fuient les taxes en partant s’installer en Belgique, les entreprises californiennes délocalisent en Arizona où les impôts sont inférieurs de 30 % avec en plus un accès direct au marché californien.

Une vie plus attrayante

‘Je suis parti suivre mes études à l’Université de Bowling Green State dans l’Ohio puis j’ai décidé de m’installer aux Etats-Unis après être revenu quelques années en France. 4 ans sont nécessaires pour bien comprendre le fonctionnement américain et se rendre compte qu’on vit mieux de l’autre côté de l’Atlantique. Personnellement, je me sens plus à l’aise aux USA, l’enseignement y est plus positif dans les écoles et les enfants ont plus d’opportunités culturelles. Les européens sont les bienvenus, les américains sont ouverts d’esprit et ce sont les produits et services proposés qui comptent’ nous explique Alain.

Une heure et quelques centaines de dollars pour créer une entreprise

Tout paraît plus facile : pas de contrat de travail et cela fonctionne dans les deux sens. L’employeur peut vous mettre à pied sans préavis et inversement vous pouvez quitter l’entreprise sans donner de préavis. Les bénéfices sociaux ne sont pas obligatoires mais existent dans toutes les structures. ‘Bien sûr les prétendants au rêve américain doivent avoir l’esprit de pionnier, le goût du risque, être très positifs et, comme ils sont éloignés des supports familiaux traditionnels, l’entraide et le réseautage comptent beaucoup. Les américains ont une éthique et des valeurs morales très fortes, ils aiment leur travail et éprouvent moins le besoin de prendre des vacances que les français’ raconte Alain de son expérience américaine.

Bienvenue aux entreprises françaises

Les français en rêvent ! Avec une vingtaine d’incubateurs, l’Arizona accueille des start-ups, des TPE, PME et offre des subventions pour les aider. Phoenix, la capitale, est d’une grandeur équivalente à Paris et des entreprises de renommée internationale telles que Boeing, Honeywell, Intel, Apple, Amazon, Veolia, Paypal, Shamrock farms y sont installées ainsi que la plus grande université des Etats-Unis : Arizona State University (70000 étudiants) et la mondialement connue University of Arizona pour la télé médecine.

Alors prêt pour le rêve américain ?

Plus d’infos : Alain Carey - Managing Director - Global Business Inc. - 602 743 7283 – careyar@gmail.com

Photo Catherine

Auxy’Germe , le groupe Germe de l’Yonne

Animé depuis début 2015 par l’incontournable Catherine Guignard-Millet (voir notre article du 28 janvier 2016 ci-dessous), le groupe icaunais GERME (entendez Groupe d’Entrainement  de Réflexion au Management des Entreprises) se réunit chaque mois dans l’Yonne. Il propose des journées de formation et d’échange au cours desquelles une quinzaine de managers viennent s’entraîner et réfléchir avec des professionnels dans le but d’enrichir leurs pratiques managériales au profit de leur entreprise.

3 axes de réflexion fondamentaux

Partager ses expériences, donner du sens à sa fonction et, développer l’homme et l’entreprise afin que chaque manager s’épanouisse dans son métier d’encadrant. Les formations proposées par GERME ont pour ambition de faire progresser le manager en livrant ses expériences et ses problématiques managériales aux autres participants. Intégrer GERME, c’est adhérer à des valeurs de d’humanisme où progrès, respect, ouverture, confiance, humilité et partage sont les clés de la posture managériale.

Quelques exemples de thématiques

• Comment intégrer les jeunes et leurs comportements dans l’entreprise ?

• Comment constituer une équipe solidaire ?

• La délégation, exigence ou nécessité ?

• Se recentrer sur ses énergies pour développer une attitude intérieure positive,

• Le marketing au service de la stratégie ou comment se différencier autrement que par le prix ?

• Comment motiver et donner du sens au quotidien grâce à la vision mentale ?

• Le manager : Positionnement et légitimité, ou comment utiliser les bons outils de management ?

• Comment apprendre à décider tout en maîtrisant un environnement incertain ?

• Le manager en forme. Comment assurer son équilibre face aux exigences de son métier ?

• Le développement durable…

Pourquoi rejoindre GERME ?

‘Au début par curiosité, mais après un an d’adhésion, c’est un vrai plus. C’est un vrai enrichissement personnel et professionnel. Nous abordons des sujets qui ont un vrai sens dans ma vie professionnelle de tous les jours avec des mises en pratique immédiates. Auxy’germe est un vrai groupe de partage et d’échange qui fait du bien,  c’est une bouffée d’oxygène et de recul car nous sommes parfois trop envahis par le quotidien. Mais c’est aussi, pour moi, la création d’un réseau de connaissances dans d’autres domaines que la mien (l’agro-alimentaire), et un réel bénéfice au travers des échanges, un partage d’expériences par rapport à des situations similaires’ nous confie Guillaume Barberon, Directeur d’Exploitation ‘Au plaisir des mets – Festins de Bourgogne’ à Appoigny (89).

Découvrir GERME

Un petit déjeuner est organisé le Jeudi 7 avril de 8h30 à 9h30 au Plaisir des Mets (Festins de Bourgogne) 10 chemin de Pougy à Appoigny (ex-usine Amora Maille) afin de présenter le réseau.

Contact : Catherine Guignard-Millet – Animatrice Groupe Auxy’Germe – 06 27 15 06 30 – catherine.guignardmillet@orange.fr

http://www.germe.com/groupe/auxerre-auxygerme

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Enfin une antenne Réseau Entreprendre dans l’Yonne

Et pour représenter le réseau dans l’Yonne : Catherine Guignard-Millet, très appréciée des entrepreneurs icaunais qu’elle côtoie depuis 20 ans. Icaunaise d’adoption, Catherine a été séduite par notre département lors d’un stage au sein du Groupe Bongrain. Maîtrise de sociologie du travail et DESS en management et gestion d’entreprise en poche, Catherine décide de se consacrer à l’emploi dans l’Yonne.

‘Pour créer des emplois, créons des employeurs’ était la maxime d’André Mulliez, le fondateur du réseau

‘Je partage complètement ces valeurs militantes’ nous confie Catherine. ‘Avec la Nièvre, l’Yonne fait figure de “parent pauvre” de la noble Bourgogne et je me refuse à aller sur cette pensée facile car nous avons de multiples talents ! Nous sommes aux portes de Paris, avons des personnes physiques ou morales attachées à leur territoire et à leur savoir-faire, et nous avons des chefs d’entreprises qui ont envie de faire “bouger les lignes“ sur l’Yonne. Energie, Envie, Talent, Réseau, … cela doit fonctionner.  N’oublions pas que dans l’Yonne, une société sur 2 ferme … faute de repreneurs …. et REB accompagne bénévolement pendant 2 à 3 ans des repreneurs profil PME qui pérenniseront des emplois, nous avons des choses à faire ensemble pour créer ou conserver des emplois dans l’Yonne !’ explique Catherine.

 175 projets accompagnés en 14 ans

En Bourgogne, plus de 2000 emplois ont été créés ou maintenus avec un taux de pérennisation à 10 ans de 85 %. 150 Chefs d’entreprises bourguignons sont adhérents du réseau.

Contacts : Catherine Guignard-Millet – 06 27 15 06 30 – cguignard-millet@reseau-entreprendre.org