Drones ou faux bourdons ou encore aéronefs, ces étranges objets volants !

De taille et de masse différente selon les utilisations recherchées, ces véhicules aériens sans humain à bord sont souvent radiocommandés même si cela devrait rapidement évoluer. Ils peuvent aussi bénéficier d’un pilotage automatique ou à partir du sol pour les vols de plusieurs dizaines d’heures.

Ces engins volants de taille réduite sont moins chers et plus faciles à utiliser qu’un avion.

Selon les utilisations, ils seront de taille et d’envergure plus ou moins grande, voleront à des altitudes différentes, auront une endurance et une capacité de chargement variables. C’est la doctrine ‘zéro mort’ qui a amené l’armée à développer des projets de drones dans les années 1990 notamment lors du conflit Iran-Irak, puis au Kosovo, au Tchad ou encore au Pakistan et en Syrie.

Des vols à vocation commerciale

Ce sont les Etats-Unis, qui, les premiers ont autorisé les vols commerciaux en 2014. Le marché, dans ce contexte, est en pleine expansion (288 millions d’€uros en 2016). Leur utilisation est encadrée et réglementée par le code de l’aviation civile et le code des transports. Les utilisations civiles et militaires sont très nombreuses et des développements sont en cours pour améliorer les performances de ces aéronefs. Comme nous explique Moses Koyabe, diplômé de l’Ecole Nationale de l’Aviation Civile de Toulouse expatrié à Phoenix et membre de l’association Aerospace Arizona ‘les utilisations envisagées dans l’industrie, le transport de colis (Amazon), la cohabitation des drones taxis (Boeing) avec les avions et les hélicoptères, la surveillance des frontières par l’armée de l’air (immigration, contrebande, aspects militaires), les bois, les rivières, les sauvetages, le suivi d’une construction à distance ou bien la constatation de dégâts pour les assureurs… les applications sont infinies’.

Une conférence à Phoenix en novembre

C’est la troisième année que l’association Aerospace Arizona organise une conférence dédiée à ces drôles d’engins motorisés qui alimentent les conversations, une initiative de l’association de développement économique régionale et d’Aerospace Arizona dont le leitmotiv est de fédérer les efforts autour des activités aéronautiques, spatiales et des drones. Beaucoup d’entreprises locales travaillent déjà dans ces domaines de pointe et l’Arizona souhaite devenir une référence mondiale, un écosystème impressionnant.

Outre les aspects législatifs, les thèmes abordés seront très variés, les drones permettent d’exécuter des tâches discrètement et en toute sécurité sans imposer une posture dangereuse à une personne comme en génie civil. En respect des réglementations, ces objets volants pourront aussi mesurer les pertes de chaleur ou de climatisation, dépolluer, construire, démanteler, explorer les eaux, mener des recherches archéologiques, tout est imaginable !

Conférences du 7 au 9 novembre. Trois jours pendant lesquels sont attendus quelque 400 prestataires de services, industriels, institutions, étudiants-chercheurs. Les différents conférenciers viendront du Panama, du Mexique, d’Israël ou encore du Canada, la liste n’est pas encore définitive et les entreprises françaises sont les bienvenues.

Si vous souhaitez assister ou intervenir lors des conférences, avoir un stand sur place ou devenir mécène, merci de me contacter : Florence CAMPENON – + 33 (0)6 76 96 31 07 – contact@florencecampenon.com

We all have that dream !

Martin Luther King savait fédérer et déplacer des foules à travers les Etats-Unis. Nombreux étaient ceux qui venaient assister à ses prêches et dénoncer les ségrégations raciales envers les Afro-américains. Nous avons fêté au mois d’avril 2018, les 50 ans de sa disparition.

« Souvent les hommes se haïssent les uns les autres parce qu’ils ont peur les uns des autres, ils ont peur parce qu’ils ne se connaissent pas,  ils ne se connaissent pas parce qu’ils ne peuvent pas communiquer, ils ne peuvent pas communiquer parce qu’ils sont séparé» expliquait Martin Luther King en 1958 lors de la marche de Montgomery.

Docteur en théologie, Martin Luther King était un pasteur baptiste afro-américain et un militant non-violent pour les droits civiques des Noirs, la paix et contre la pauvreté aux Etats-Unis. Soutenu par John Fitzgerald Kennedy dans ses actions, il devient le plus jeune Prix Nobel de la Paix en 1964. Ses protestations pacifiques, inspirées par Gandhi,  pour le droit du travail, le droit de vote et contre la ségrégation des Afro-américains ont généré une vague de sympathie qui dépassait les clivages ethniques. Outre-Atlantique, son combat devient l’un des sujets les plus importants des années soixante.

Désobéissances et marches en signe d’opposition

Les insoumissions afin de lutter contre la ségrégation raciale revêtent différentes formes dans les années 50 et 60. En 1955, Rosa Parks est arrêtée pour avoir refusé de céder sa place à un Blanc dans un bus de Montgomery. A Albany et Birmingham, des militants ont occupé des bibliothèques, des restaurants et se sont agenouillés dans les églises réservées aux Blancs .

Les actions non-violentes, nombreuses, rassemblaient des centaines de milliers de partisans. A Washington, le 28 août 1963, jour où le pasteur prononça le fameux discours ‘I have a dream’ devant le Lincoln Memorial, 250 000 personnes participèrent à la marche pacifique. Des opérations d’envergure avaient lieu contre la discrimination dans les écoles publiques, pour obtenir un salaire décent de USD 2.00 de l’heure et le droit de vote de tous les citoyens américains sans distinctions.

Martin Luther King est assassiné le 4 avril 1968 à Memphis

Alors qu’il était venu soutenir les éboueurs noirs en grève pour obtenir un meilleur salaire, le pasteur est assassiné le 4 avril 1968, sur le balcon de son motel. Sa disparition a engendré des émeutes dans une soixantaine de villes américaines. 300 000 personnes ont assisté à ses funérailles déclarées jour de deuil national par le Président au pouvoir, Lyndon Johnson. La maison où est né Martin Luther King à Atlanta est devenue un musée national.

© Marines : Martin Luther King, 28.08.63, Washington

Paru le 10 mai 2018 sur http://www.lesmusesdeparis.com/news/we-all-have-that-dream-67

Winnie Mandela, l’insoumise de Soweto n’est plus

Nomzamo Winifred Zanyiwe Madikizela dit Winnie Mandela, surnommée la mère de la nation, a vécu une existence bien controversée. Militante anti-apartheid et sympathisante de l’ANC, elle rencontre Nelson Mandela, l’un des premiers avocats noirs d’Afrique du Sud. Lui aussi membre actif  de ce mouvement,  il en deviendra le président.

A 81 ans, cette femme politique sud-africaine diplômée en relations internationales, ne regrettait rien de ses combats. Contrairement à son mari qui prônait la non-violence, elle a évolué vers le radicalisme. L’un souhaitait la paix et l’autre la justice. Son mari emprisonné de 1962 à 1990, c’est elle, la féministe (Winnie Mandela présidera la ligue des femmes de l’ANC) qui a repris le flambeau face aux balles et à la haine. Elle ne cachait pas la violence avec laquelle elle menait son engagement. Elle a d’ailleurs été condamnée à plusieurs reprises et assignée à résidence. Elle n’était autorisée à visiter son mari que deux fois par an à la prison de Robben Island (près de la ville du Cap) tant elle était considérée comme dangereuse.

Président de la République, Madiba la nommera vice-ministre des Arts, de la culture, de la science et des technologies. Cette collaboration se soldera par un divorce en 1996. Ces deux êtres que tout rassemblait, avaient évolué vers des idées divergentes.

Une vie de lutte contre l’apartheid

Elle reprochera plus tard à Nelson Mandela d’avoir partagé son prix Nobel de la paix avec le Président Frederick De Klerk et n’appréciera pas non plus qu’une statue de Mandela soit érigée dans le quartier blanc de Sandton plutôt qu’à Soweto où elle vécut jusqu’à sa mort le deux avril dernier.

Pourtant Nelson Mandela, pendant ses vingt-huit années d’enfermement, aurait pu tel un prisonnier ordinaire être oublié. Grâce à une épouse prête à mourir pour la liberté du peuple noir, il ne l’a pas été. Ne dit-on pas qu’il y a une femme derrière chaque grand homme ?

L’Afrique du Sud aujourd’hui

L’ANC est toujours le parti au pouvoir aujourd’hui mais sa réputation entachée d’accusations de corruption l’a rattrapé. Winnie Mandela évoquera dans une récente interview le besoin de renouveau de son parti pour conduire l’Afrique du Sud sur le chemin de la liberté. Soweto est toujours un quartier noir comme au temps de l’apartheid. 53 % des jeunes y sont au chômage et un tiers de ses résidents vit en dessous du seuil de pauvreté.

Dix jours de deuil national ont été décrétés par l’ANC à cette égérie anti-apartheid ainsi qu’un vaste programme d’hommage. Celle que tout un peuple pleure a été enterrée le 14 avril dernier à Johannesburg.

Article paru le 1er mai Les Muses de Paris – http://www.lesmusesdeparis.com/news/societe-204/1

© Slum Dwellers International, Winnie Madela, 2.01.2012. 

Keigo Kimura, chef étoilé et propriétaire de l'Aspérule à Auxerre

Une étoile file vers Dijon

Faute de local suffisamment grand à Auxerre, le chef envisage d’ouvrir près de la place de la République et plus précisément rue Jean-Jacques Rousseau, son deuxième restaurant bourguignon.

On ne le présente plus ! Le chef étoilé d’Auxerre, Keigo Kimura, une étoile au guide Michelin depuis février 2015 va rejoindre la capitale bourguignonne au printemps 2018. Il nous avait confié en début d’année (voir notre numéro du 16 janvier) chercher un lieu plus vaste pour exercer son art. ‘J’avais trouvé une maison d’habitation près du centre-ville d’Auxerre, mon souhait était de rester dans cette ville. J’avais prévu de gros travaux d’aménagement mais quelques marches m’ont conduit à abandonner le projet : la demande de dérogation a été refusée et la mise aux normes était trop onéreuse. J’envisageais un espace plus vaste en salle pour le confort de mes clients et une cuisine plus grande. Je rêvais aussi d’une terrasse ou d’un jardin pour y installer mes convives aux beaux jours’ nous confie le jeune chef.

L’enseigne de la rue du Pont, ouverte depuis avril 2014, à Auxerre continuera d’exister. ‘Mon second de cuisine sera promu Chef et mon Maître d’Hôtel deviendra Responsable de l’établissement. Un menu classique sera proposé midi et soir. Je naviguerai régulièrement entre Auxerre et Dijon pour construire les menus avec le nouveau Chef de cuisine. Le restaurant de Dijon sera à peine plus grand que celui d’Auxerre, 25 couverts contre 20 dans l’Yonne. Je ne vise pas à augmenter le nombre de couverts, j’ai juste envie d’une surface plus spacieuse’ poursuit Keigo.

Déménager son restaurant lui fera perdre son étoile. Il devra tout reprendre de zéro, mais c’est sûr, il la récupérera dès février 2019 pour le nouveau guide.

Article paru le 27 novembre dans le Journal du Palais de Bourgogne Franche-Comté.

Le travail du sucre par les mentions complémentaires en pâtisserie

On n’en finit pas d’innover au CIFA d’Auxerre !

1000 jeunes sont formés chaque année au CIFA (Centre Interprofessionnel de Formation des Apprentis) à Auxerre du CAP au BTS, soit plus de 20 000 depuis sa création en 1975.

Parce qu’il est nécessaire d’évoluer dans un environnement attrayant pour susciter l’envie d’apprendre, le CIFA d’Auxerre ne cesse d’innover. En mars dernier, le Clic’Store, un projet pilote, était inauguré (voir notre article du 27 mars dernier), une boutique pédagogique et virtuelle pour permettre aux apprentis de se retrouver en situation réelle de vente. En six mois, les extérieurs ont été relookés grâce à  l’apparition d’espaces verts et d’un city stade. Chacune des zones d’apprentissage ressemble à une vraie boutique, un vrai laboratoire, un vrai restaurant, un vrai institut ou encore un vrai atelier avec en plus des supports visuels expliquant aux élèves les techniques qu’ils doivent employer pour réaliser un acte de coiffure, d’esthétique, de boulangerie ou pâtisserie, de cuisine, de découpe de viande, de mécanique ou carrosserie… Un avantage non négligeable. Ainsi ils voient concrètement comment procéder. A leur tour, les élèves sont filmés et leur professeur débriefe avec eux sur ce qu’ils ont réussi ou doivent améliorer dans leurs gestes. Un véritable succès puisque les jeunes apprentis sont abonnés aux concours et aux remises de prix.

Le centre d’apprentissage icaunais est l’un des plus modernes de la région. En 2019, devrait être étrenné un atelier mécanique et carrosserie futuriste, ergonomique, autonome en énergie, avec recyclage des eaux, salle blanche, toit végétal…

Article paru le 13 novembre 2017 dans le Journal du Palais de Bourgogne Franche-Comté.

Frédéric Gueguen

Une cité des vins de Bourgogne à Chablis

‘Après le classement mondial au patrimoine de l’UNESCO des grands crus de la Côte d’Or, nous devions profiter de ce rayonnement sur l’ensemble de la Bourgogne pour mettre en avant la diversité de notre territoire’ nous explique Frédéric Gueguen, Président de la FDAC (Fédération de la Défense de l’Appellation Chablis) et propriétaire viticole à Chablis depuis 5 ans. ‘Si les appellations Hautes Côtes de Beaune, Hautes Côtes de Nuits, Clos Vougeot… font rêver les amateurs de bons vins, les labels village ou régionaux en blanc ou en rouge sont aussi des breuvages accessibles qui représentent 50 % du volume des ventes. Les cépages issus du territoire bourguignon sont majoritairement les Chardonnais et Pinot noir mais beaucoup d’autres existent comme le Sauvignon à Saint-Bris-le-Vineux et le Chasselas à Mâcon’ poursuit ce passionné de viticulture. Le vignoble bourguignon s’étend sur 200 km, c’est pourquoi ce sont trois cités des vins qui pourront dès la fin 2019 ou début 2020 accueillir tous les épicuriens, non seulement à Chablis mais aussi à Beaune et à Mâcon. Les trois cités travailleront en synergie pour conseiller les touristes et les aider à voyager à travers les vignes et des cépages.

Ouverture prévue pour la fin 2019

‘Chablis, pour sa renommée internationale (70 % des vins de Chablis sont vendus à l’export) et parce que la ville bénéficie d’une position centrale pour le département de l’Yonne, située entre les vignobles du jovinien et ceux de du vézelien. L’idée de la création d’un tel projet est d’être disponible pour les néo-consommateurs qui veulent comprendre et découvrir notre métier et notre région’ rappelle Frédéric. Une dizaine d’emplois seront créés pour répondre aux demandes des 50 000 visiteurs attendus chaque année (deux agences ont réalisé des business plans pour arriver à cette conclusion d’après les chiffres touristiques des monuments visités dans l’Yonne).

C’est en lieu et place du Cellier du Petit Pontigny situé en centre-ville de Chablis que les travaux sont prévus, avec une petite extension de l’immeuble. Le site, qui regroupe deux bâtiments dont l’un abrite  déjà le BIVB (entendez Bureau Interprofessionnel des Vins de Bourgogne) et le syndicat de la profession viticole de Chablis, est chargé d’histoire, de vieilles pierres qui furent d’antan la propriété des moines cisterciens de l’abbaye de Pontigny et qui servait jusqu’alors de salle de banquets. Une autre salle dédiée à cet usage sera construite prochainement à Chablis.

Pour l’heure, les travaux n’ont pas encore démarré mais une convention entre le BIVB, les mécènes et les institutions devraient être signée en octobre prochain. Ensuite et d’ici la fin 2017, sera lancé  un concours d’architectes.

Article paru le 4 septembre 2017 dans le Journal du Palais de Bourgogne Franche-Comté.

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Les horlogers fêtent Pâques

Bleu, jaune et vert, le quartier de l’Horloge à Auxerre revêtira les couleurs de Pâques du 15 au 22 avril. Le collectif des commerçants et artisans est désormais bien rodé. Dynamiser et attirer le chaland en centre-ville est son principal objectif. Alors à chaque évènement, chacun retrousse ses manches pour décorer les rues piétonnes du quartier historique et participe à l’élaboration du programme des animations. Cette année une ferme des années 1900 s’installera place de l’hôtel de ville dès le samedi 15 avril avec ses lapins, volailles, moutons, et chèvres puis des toboggans gonflables prendront place au même endroit le samedi suivant. Paille au sol, balades à poneys et pêche aux canards seront organisées pour le bonheur des plus petits. Pour les plus grands, toute la semaine du 15 au 22 avril, les commerçants participants proposeront des remises de 10 à 50 % sur une sélection d’articles.

Eklecktic est né le 1er mars

Un nouveau magazine est né cette semaine sur l’orléanais. Oui, la presse en local trouve toujours ses lecteurs… et promet un bel avenir. Nous revenons à nos fondamentaux et aimons connaître ce qui se passe près de chez nous. C’est la vocation d’Eklecktic qui propose des articles sur l’actualité de la région, les nouveautés, l’alimentation, les spécialités culinaires, la culture, la littérature,  la déco, la mode, les voyages… des sujets éclectiques comme le suggère son nom. Le premier numéro a reçu, dès sa parution, un accueil très encourageant… merci à tous nos lecteurs…

Retrouvez-nous sur http://eklecktic.fr/

 

Bernard Moraine, Maire de Joigny et Patrick Kanner, Ministre de la ville, de la jeunesse et des sports

Le ministre de la ville en visite à l’E2C à Joigny

Ministre de la ville, de la jeunesse et des sports, Patrick Kanner s’est rendu le 23 janvier dernier à l’Ecole de la 2ème chance à Joigny pour rencontrer des jeunes et des volontaires en service civique. Créée en 2012 dans l’Yonne et rattachée depuis 2015 à la Ligue de l’enseignement, l’E2C a déjà accueilli 300 stagiaires dont 56 % ont réussi leur reconversion. La durée du cursus est de six mois et demi et la moyenne d’âge de 21 ans. C’est Edith Cresson, ancien premier ministre, qui en fut l’initiatrice sur le simple constat que de nombreux jeunes sortaient du système éducatif sans diplôme et… sans emploi. Ce dispositif offre aux demandeurs d’emploi de 18 à 30 ans (souhait du conseil général pour l’école de Joigny) peu ou pas qualifiés, une formation personnalisée sur la découverte et la confirmation des projets professionnels, la remise à niveau des savoirs fondamentaux, et la gestion des freins à l’emploi. Patrick Kanner s’est voulu rassurant avec les jeunes, les questionnant chacun sur leur parcours personnel et scolaire, et ce qu’ils appréciaient à l’E2C de Joigny. ‘Vous n’êtes pas les seuls dans cette situation, puisque 15000 jeunes par an sont accueillis dans les 107 structures E2C de France. Ici les programmes sont ‘sur mesure’ contrairement à l’éducation nationale qui propose du ‘prêt-à-porter’ lance alors le ministre ‘et vous devez assimiler votre passage à l’école de la deuxième chance à un tremplin pour votre future vie professionnelle vous permettant de rebondir’. Les stagiaires interviewés sont attachés à leur école, leurs encadrants, bienveillants, et mesurent leur chance d’avoir une équipe pédagogique disponible pour les écouter et les soutenir dans leurs projets. Une approche globale pour une insertion sociale et professionnelle durable.

12000 jeunes volontaires en service civique en 2016

Le ministre a ensuite souhaité rencontrer des jeunes en service civique à l’E2C. ‘La ligue de l’enseignement est favorable à ce dispositif, nous explique Denis Chauvel, secrétaire général de la Ligue de l’enseignement Bourgogne Franche-Comté. La mission dure entre 6 et 9 mois (une moyenne de 8 mois au sein de la ligue), elle doit ouvrir des horizons professionnels civiques citoyens. Le jeune en service civique ne doit pas remplacer un salarié, il a une mission de développement qui lui permet aussi de bénéficier d’un statut et d’une indemnité de 540 €uros par mois dont 440 sont financés par l’Etat. En 2016, 12000 jeunes se sont engagés dans ce partenariat, sur la base du volontariat en milieu associatif, dans une collectivité ou encore dans les services de l’Etat en particulier dans l’éducation nationale. La ligue de l’enseignement emploie des personnes en service civique (84 pour l’année 2016) mais forme également les tuteurs qui les guideront tout au long de leur période d’immersion. 48 % sont des garçons et 52 % des filles, 54 % ont un bac ou un niveau bac et 15 % un bac +2 ou 3. La Ligue de l’enseignement accompagnent les services civiques pour re-préparer un examen. L’objectif du service civique est d’être utile à quelqu’un, de découvrir une vocation et de mettre en place des actions complémentaires à celles déjà menées. Ainsi les missions proposées portent sur des projets intéressants : souvent liés à la laïcité, le vivre ensemble, l’approche environnementale, la culture, l’éducation pour tous ou encore la solidarité…’

Paru le 6 février 2017 dans le Journal du Palais de Bourgogne Franche-Comté.

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Un Award américain pour l’icaunais Daniel Lesueur

Un hologramme, un biopic et maintenant un Award décerné par l’Associated for Recorded Sound Collections pour l’Argus Dalida rédigé par Daniel Lesueur, journaliste et auteur auxerrois. ‘J’ai écrit cet argus voilà quelques années et l’association américaine m’a contactée l’année dernière via mon site Infodisc pour faire partie des lauréats 2016 sélectionnés à l’international dans la catégorie ‘meilleure biographie et discographie’. Cet argus avait évidemment été validé par Orlando, le frère de Dalida, qui veille sur la carrière posthume de la star. Je suis très heureux et honoré d’avoir reçu cette récompense’ nous confie Daniel.

Journaliste rock, un rêve de môme

‘Quand j’étais môme, je voulais être animateur sur Europe 1 qui était à l’époque la radio des jeunes

avec des émissions comme ‘Salut les copains’, ‘Campus’… Il n’existait alors pas d’école pour apprendre ce métier’. Passionné de musique mais désargenté, j’ai commencé une collection en achetant des disques rares, en les revendant un bon prix pour en racheter d’autres… jusqu’à en avoir près de 20000 aujourd’hui ! De fil en aiguille, je suis entré en contact avec des journalistes de presse écrite rock et un jour l’un d’eux m’a confié la couverture d’un concert de Léonard Cohen pour le journal ‘Extra’, mon premier article pour un journal ! Puis j’ai animé des émissions musicales sur des radios pirates qui allaient être libérées en mai 1981. C’était une promesse de François Mitterrand de casser le monopole des radios et cet engagement a été tenu. J’ai donné environ mille heures de bénévolat aux radios, ce qui m’a permis d’apprendre le métier et d’être repéré par le directeur des programmes de Top Essonne puis par Laurent Cabrol lors d’un stage chez Radio France. J’avais une chronique dans son émission ‘L’air du temps’ les samedis et dimanches’ poursuit le passionné de musique.

De l’animation à l’écriture

Animateur musical sur Télé Monté Carlo puis sur France Bleu jusque très récemment, Daniel s’est mis à écrire en 1992 sur des sujets concrets : les radios,  l’histoire du disque, des stars du cinéma porno, John Wayne Gacy le plus grand serial killer de l’histoire, les Beattles, Johnny Halliday, Eddy Mitchell, Claude François, Françoise Hardy, Jacques Higelin… Son éditeur lui passe commande d’un sujet précis ou bien il est  lui-même l’initiateur d’un propos qui lui tient à cœur. L’écrivain travaille actuellement sur la traduction de la biographie de Jimmy Page (fondateur guitariste et compositeur de Led Zippelin), mais réfléchit déjà au sujet de son prochain livre : une anthologie sur les starlettes méconnues du noir et blanc. ‘L’idée m’est venue en rédigeant la bio de Gaby Morlay, une star française de la première moitié du 20ème siècle, actrice du film ‘Le Bonheur’ entre autres, ce livre m’a plongé dans la vie de la star et m’a pris beaucoup de temps en recherches d’archives, quasi inexistantes. Ce nouvel ouvrage verra le jour d’ici deux ans, le temps des recherches et de l’écriture.

Paru le 30 janvier dans le Journal du Palais de Bourgogne Franche-Comté.

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Un Maître Restaurateur à Toucy

Presqu’une année est nécessaire pour obtenir le très convoité titre de ‘Maître Restaurateur’. Un gage de qualité qui implique un cahier des charges très strict sur l’origine et la transformation des produits, la relation avec les clients, les aménagements intérieurs, les équipements extérieurs et les règles d’hygiène et de sécurité principalement.

Le Délices des Galets est une succursale du Bourgogne (situé à Auxerre), une histoire de famille puisqu’Eric Galet n’est autre que le frère de la gérante. La cuisine est un peu différente, les plats du terroir sont préférés à Toucy.

Visite d’un client mystère

‘Un client mystère est venu déjeuner, il a posé des questions sur les plats, les vins, a observé l’ambiance du restaurant, la mise en place, le cadre et s’est présenté au moment de régler l’addition pour avoir accès à la cuisine, aux frigos et aux documents officiels : diplômes, factures, étiquettes des produits (pour la traçabilité)… pour rendre son verdict favorable ou défavorable’ nous explique Valérie Roy-Gallet, la gérante du lieu.

Leur priorité : le client

Le précieux sésame garantit la fraîcheur des produits utilisés. Dans un univers aujourd’hui très concurrentiel, il est important de se distinguer et de proposer une cuisine entièrement fabriquée ‘maison’. Rognons sauce foie gras, tête de veau sauce gribiche, œufs et escargots en meurette, Valérie et son chef cuisinier Camille Picon, proposent une cuisine d’excellence mijotée pour éveiller les papilles de leurs convives. La carte change tous les trimestres et les suggestions dépendent des saisons. Les clients sont choyés et leurs moindres attentes sont exaucées. ‘Nous nous adaptons et concoctons des mets sur mesure aux personnes allergiques ou ayant un régime spécial. Nos convives doivent se régaler et passer un agréable moment’ poursuit Valérie.

La salle de restaurant est privatisable pour des mariages, anniversaires, repas de fin d’année ou autres évènements jusqu’à 50 personnes. Le chef, très créatif et inspiré, propose de magnifiques et délicieux desserts appropriés à l’occasion. Ses spécialités : les desserts aux mousses de fruits frais et les gâteaux au chocolat.

Le titre de Maître Restaurateur créé en 2007, s’est vu conférer une valeur législative par l’article 7 de la loi n°2014-344 du 17 mars 2014 relative à la consommation, une volonté politique que nos gouvernants ont souhaité mettre en avant pour privilégier le ‘fait maison’ et revenir aux traditions gastronomiques françaises.

Article paru le 17 octobre 2016 dans le Journal du Palais de Bourgogne Franche-Comté

Salle réunion étage

Nouvelle pépinière d’entreprise à Joigny

C’est la septième structure de ce type dans l’Yonne après celle d’Auxerre, de Sens, de Tonnerre, de Toucy, d’Avallon et de Saint Florentin inaugurée en mai 2015. ‘Un projet de 4.4 millions d’€uros  attendu depuis début 2015 par les entrepreneurs joviniens mais les travaux ont pris quelques mois de retard a souligné Nicolas Soret, Président de la CCJ (Communauté de Communes du Jovinien). Notre volonté politique est le développement économique du bassin jovinien qui a payé très cher le départ du 28ème groupe géographique. Nous souhaitons proposer une offre immobilière aux entreprises, nous avons encore 20000 m2 de réserve foncière sur la commune de Béon que nous espérons transformer en une zone d’activités. Le site du groupe géographique a été réhabilité pour accueillir quinze organismes de formation afin de pallier aux offres d’emplois locales. Nous voulons créer la différence par rapport à nos voisins comme le transport fluvial, déjà opérationnel mais qui devrait s’intensifier d’ici 2020, pour, par exemple, livrer des céréales directement jusqu’à la mer’.

Des entreprises à un pas de la gare

Un emplacement stratégique, facilement accessible. Gérée par la CCI de l’Yonne mais financée par la CCJ, la pépinière est une réponse immédiate à un besoin d’hébergement temporaire de l’entreprise en devenir, des bureaux modulables et évolutifs, un loyer abordable, des prestations de qualité et les services des conseillers de la CCI à proximité. 2190 m2 comprenant 6 ateliers de 85 à 250 m2 et 18 bureaux flambant neufs de 12 m2 dont 60 % sont aujourd’hui disponibles. Les voies ferroviaires à proximité ont permis à la société Transalp de s’installer dans les locaux quelques mois puis de les libérer récemment.

‘Ici nous avons tous les avantages d’une entreprise avec des prestations de qualité comme un secrétariat, un accueil et une permanence téléphonique, un photocopieur, des salles de réunion et de co-working, un espace détente pour déjeuner, une télésurveillance… Ce lieu est un vrai coup de cœur, il me permet de ne plus être isolée, de rencontrer d’autres professionnels et l’accueil y est chaleureux’ nous explique Sandra Leite, coach installée depuis début juin dans son nouveau bureau de 24 m2. Les bureaux sont modulables et Sandra a choisi d’en réunir deux pour avoir plus d’espace lorsqu’elle reçoit ses clients.

Une micro-crèche opérationnelle

Destinée en premier lieu aux 1000 navetteurs qui rejoignent Paris tous les jours, mais aussi aux salariés en horaires décalés et aux entrepreneurs de la pépinière, la crèche Maria Montessori, du nom de la célèbre psychiatre italienne, est attenante à la pépinière. Les horaires d’ouverture, de 5h45 à 19h, offre une véritable amplitude pour les parents. Une dizaine de lits sont à disposition.

L’inauguration s’est déroulée en présence de Marie-Guyte Dufay, Présidente de la région, Alain Perez, Président de la CCI, Bernard Moraine, Maire de Joigny, et Isabelle Chaput, Présidente de la CAF.

Table ronde Les entreprises de demain

Voyage vers le futur, mon entreprise en 2030

241 participants à l’évènement business organisé par la CCI de l’Yonne

Organisé tous les deux ans en alternance avec les RIDY (Rencontres Industrielles de l’Yonne) par Christine Jan, Chef de Projet RIDY et Evènement Business, et Animatrice de la Communauté des Positives Entreprises à la CCI de l’Yonne, cet après-midi business permet aux entrepreneurs de l’Yonne de réfléchir et d’échanger sur leurs problématiques et d’anticiper sur le business model de demain dans un cadre différent à chaque édition, original et convivial.

Voilà le thème qu’a abordé Joël de Rosnay lors de sa conférence au théâtre de Sens. Personnage public, Docteur ès sciences, prospectiviste et écrivain, il participe régulièrement à des débats sur l’informatique et Internet, la biologie, la santé et le vieillissement, l’environnement et l’énergie, les nanotechnologies… A 79 ans, il nous fait part de ses observations et de son ressenti à l’égard des entreprises évoluant dans un environnement en pleine mutation. Joël de Rosnay prône une entreprise fluide (transversale) plutôt qu’une entreprise rigide (pyramidale), des free-lancers (entendez des intermittents qui passeront d’un job à l’autre), un monde où le salariat sera obsolète. Nous serons des humains ‘augmentés’ grâce à l’intelligence artificielle de nos smartphones qui nous permettent de communiquer, de rechercher une information en temps réel. Nous entrons dans l’ère de la symbiose entre le biologique et le numérique : maison intelligente, voiture intelligente, l’éducation nationale de type pyramidale deviendra une éducation sur mesure intergénérationnelle (notre espérance de vie augmente d’un an tous les quatre ans et il va falloir occuper les anciens). Les entreprises seront proactives, participatives, les comptes rendus de réunion se rédigeront automatiquement grâce à la reconnaissance de nos voix… nos hologrammes nous remplaceront pour animer des conférences et ainsi nous pourrons être présents en plusieurs endroits à la fois. Les livraisons seront réalisées grâce à des drones… «J’ai adoré cette intervention, mais certaines entreprises remettront-elles en cause leur schéma ?» s’interroge Stéphanie. Comment les conservateurs vont-ils aborder ces changements. Auront-ils le choix ?

Cette conférence était suivie de la présentation de cinq jeunes entreprises innovantes et des clubs business sénonais.

Speed business dans les salons de l’hôtel de ville de Sens

Le principe est copié sur celui du speed dating, chaque dirigeant d’entreprise est invité autour d’une table de 8 personnes et a une minute pour s’exprimer sur l’activité de son entreprise. Chacun explique tour à tour son savoir-faire puis change de table pour recommencer sous l’œil avisé d’autres chefs d’entreprise. Un exercice de synthèse qui permet de distribuer et de récolter de nombreuses cartes de visite. Des rencontres qui peuvent déboucher directement sur des opportunités d’affaires en quelques instants.

La soirée s’est clôturée par la visite de la cathédrale de Sens et son fameux spectacle ‘Lumières de Sens’

Ces rencontres remportent un véritable succès. Contrairement aux idées reçues, les participants changent, de nouveaux contacts se lient, de nouvelles entreprises s’installent au vert dans l’Yonne, près de Paris et pour certaines c’est un véritable choix en matière de qualité de vie, Sens n’étant qu’à une heure de voiture ou de train. Prochain rendez-vous : le 12 juillet pour un brunch au sein d’une entreprise locale.

Article paru le 27 juin dans le Journal du Palais.

Venise & Vin au Palais d'Ancy le Franc

Venise et vin au Palais d’Ancy-le-Franc

Un rêve éveillé ! Une quarantaine de comédiens en costumes vénitiens déambuleront dans les allées de ce salon chic les 9 et 10 juillet prochain lors de sa troisième édition. Les viticulteurs bourguignons présenteront leurs meilleurs crus et leurs grands millésimes au Carnaval de Venise en lieu et place du château d’Ancy-le-Franc. Les visiteurs pourront déguster et acheter sur place. Une douzaine de domaines seront représentés pour faire découvrir ou redécouvrir les délicieuses saveurs viticoles de notre terroir. Exposition et vente de bijoux en cristal de Murano et de Chapeaux d’autrefois.

Le palais d’Ancy-le-Franc, au cœur du tonnerrois, est un joyau de la Renaissance italienne à l’architecture épurée en forme de quadrilatère. C’est le monument historique le plus visité de l’Yonne. Depuis 1999, l’édifice fait l’objet d’une rénovation exceptionnelle à l’intérieur, sur les peintures (œuvres de peintres italiens, flamands et français) et les boiseries et à l’extérieur, sur les façades, les dépendances et le parc.

Depuis 2014, une partie du rez-de-chaussée, fermée depuis 14 ans, a été ré-ouverte après restauration : l’appartement de Diane de Poitiers avec sa célèbre chambre aux peintures murales du XVème siècle, la salle des Archives, le passage des bains, la cuisine d’été, l’antichambre dite la « salle des Césars » ou « salle des Empereurs »…

Ancy-le-Franc, un château animé

Outre la richesse historique des lieux, des expositions de peintures en intérieur, des sculptures métalliques dans le parc de 50 hectares, des visites nocturnes aux chandelles ou visites-concerts Musicancy, des salons d’antiquaires, et même des cours de cuisine médiévale dispensés par de grands chefs bourguignons sont organisés tout au long de l’année. Cet endroit est un vrai lieu vivant où adultes et enfants s’amusent, se cultivent, s’imprègnent de l’ambiance qui régnait voilà quelques siècles. Une alliance originale de très joli goût.

Le salon aura lieu dans les salles du rez-de-chaussée le samedi de 10 à 21 heures (restauration sur place lors de la nocturne) et le dimanche de 10 à 18 heures. Entrée : 2 € et gratuit jusqu’à 12 ans. http://www.chateau-ancy.com

Article paru le 27 juin dans le Journal du Palais.

A 12 © Guédelon - Vue aérienne automne 2015

Mystère à Guédelon

Participer à une enquête policière de nuit, c’est la nouveauté 2016 du site. Dès 20 heures samedi 18 juin, alors que le domaine était habituellement fermé aux visiteurs, ceux-ci se sont retrouvés dans la cour du château et ont du résoudre une énigme : un terrible enlèvement a eu lieu à Guédelon : l’enlèvement de Guilbert, le jeune seigneur du royaume, pendant le sommeil de son précepteur. Une manière originale de découvrir le château, ses sentiers forestiers et autres lieux mystérieux de nuit.

Un projet fou unique au monde

Situé en Puisaye, au cœur d’une forêt de dix hectares, le château fort du 13ème siècle de style philippien (château du Louvre ou de Ratilly) se construit depuis 1997 sur le site d’une ancienne carrière de grès ferrugineux. Comme au moyen âge et afin de réduire les coûts et les délais de transport, les ressources sont sur place, à portée de charrette. Onze métiers ou savoir-faire ancestraux que 50 000 enfants viennent redécouvrir chaque année. Des procédés de construction et l’organisation d’un chantier comme au Moyen Age : les métiers de meunier, tailleur de pierre, forgeron, sculpteur, potier ou encore charpentier, bûcheron… en habits d’époque sont représentés et expliqués. Déjà une quinzaine de pièces ont été réalisées ou sont en cours de réalisation à l’intérieur de la colossale bâtisse.

Guédelon, c’est aussi un chantier expérimental qui reçoit plus de 300 000 visiteurs par an essentiellement français et européens, emploie 70 salariés, un projet qui s’autofinance en totalité grâce aux entrées, à la boutique et aux restaurants.

Depuis le début de la construction, voilà bientôt 20 ans, nombreux sont les visiteurs qui reviennent pour suivre l’avancée des travaux. Cette curiosité originale est une richesse et une fierté pour notre région.

D’autres “Mystères à Guédelon” seront proposés en juillet et août. Voir sur www.guedelon.fr

Attention : les enfants de moins de 12 ans ne peuvent pas participer à l’enquête «Mystère à Guédelon» – Durée de l’enquête : entre 2h et 2h30 – Prévoir un équipement de marcheur.

Guédelon – route départementale 955 – 89520 TREIGNY – France – www.guedelon.fr – ouvert de mars à novembre.

Crédits photos : A 3 © Clément Guérard – Vue aérienne 2015

Article paru le 20 juin dans le Journal du Palais.